Une première en France où Laetitia, âgée de 32 ans, se réveille ce jeudi 24 février avec un mal de crâne.
Laetitia, infirmière résidant à Baixas dans les Pyrénées-Orientales, se voit administrer la 3ème dose du vaccin pour avoir son pass vaccinal à jour. Elle pourra donc continuer sa profession en toute tranquillité, mais surtout en toute légalité.
Réticente comme 71% des français à cette 3ème dose, Laetitia saute le pas et fonce à la pharmacie la plus proche pour sa dose de rappel.
La 3ème dose a eu lieu le 22 février à la pharmacie de Baixas ; elle rentra ensuite chez elle afin de se reposer de cette dure journée de boulot.
Pas d’effets secondaires jusqu’au 24 février
Ce jour-là, Laetitia se lève avec un mal de tête : « J’ai cru que ma tête allait exploser ! ». En effet, en touchant son front, elle remarque une forme qu’elle connait parfaitement. Choquée, elle fonce à la salle de bain et voit un cauchemar : un pénis a poussé sur son front pendant la nuit. Ce vendredi 25 février, Laetitia est toujours à l’hôpital pour déterminer la cause de ce pénis apparu sur son front : il s’avère que la piste de la 3eme dose ne serait pas du tout écartée !

JE N’AI JAMAIS VU ÇA DE MA VIE !
Le docteur Franck Martinez Franck, travaillant à l’hôpital de Perpignan, ne comprend pas comment un pénis a pu lui pousser rapidement pendant la nuit du 24 et a peur pour son propre front.
« Nous avons examiné la patiente et nous sommes sûrs à 96% que cette cause vient de la 3ème dose. » Le docteur ne trouve aucun moyen pour le moment de retirer ce pénis : « Après un scanner, nous nous sommes rendus compte que le cerveau de la patiente s’est propagé dans le pénis et je crains que si celui-ci durcit et éjacule, ce sera une catastrophe.